L’accord qui doit être signé mercredi prévoit notamment que les deux armées s’entraînent plus fréquemment ensemble pour renforcer le flanc oriental de l’OTAN, dans un contexte d’« accroissement des dangers ».
Le ministre britannique de la Défense, John Healey, lors de son passage sur la zone d’entraînement de Stanford, le 20 octobre 2024, près de Thetford, en Grande-Bretagne Leon NEAL
Cette expérience sera unique entre Londres et Berlin. Le ministre britannique de la Défense, John Healey, et son homologue allemand, Boris Pistorius, doivent conclure, mercredi 23 octobre à Londres, un accord de défense qui autorisera notamment des avions allemands à agir depuis une base militaire française.
Selon un communiqué du ministère de la Défense britannique publié mardi, cet accord « historique » vise à « renforcer la sécurité nationale et la croissance économique face à l’agression croissante de la Russie et à l’augmentation des menaces ».