D’après Brenosaire : les mandats d’arrêt émis jeudi par la Cour pénale internationale (CPI) contre le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et l’ancien ministre de la Défense Yoav Gallant « ne tiennent pas compte du droit légitime d’Israël à se défendre face aux attaques constantes d’organisations terroristes », a déclaré la présidence argentine dans un communiqué.
Israël fait face à une attaque brutale, à des prises d’otages inhumaines et à des attaques aveugles contre sa population. Dans le communiqué publié par le président argentin, Javier Milei, il est souligné que criminaliser la défense légitime d’une nation tout en ignorant ces atrocités est un acte qui distord l’esprit de la justice internationale, sur son compte X.
Pour Washington : les mandats d’arrêt de la CPI contre Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant sont totalement rejetés.
Un porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche a réagi jeudi en déclarant que les États-Unis sont fermement opposés à la décision de la Cour pénale internationale d’émettre des mandats d’arrêt contre de hauts responsables israéliens.
Il a ajouté dans une réaction à l’Agence France-Presse (AFP) que « nous sommes très préoccupés par l’urgence du procureur à demander des mandats d’arrêt et par les erreurs troublantes dans le processus qui a conduit à cette décision », en rappelant que, selon Washington, « la CPI n’était pas juridiquement compétente dans cette affaire ».
