Dans un contexte où l’hégémonie occidentale est en pleine crise, où on peut même se demander si elle est capable et même si elle peut être le leader mondial, on peut même affirmer qu’un contexte géopolitique bipolaire où le groupe des BRICS est en position de force et de confiance.
L’élection américaine a lieu dans un contexte géopolitique où le pôle occidental a besoin d’un leader compétent et mieux conscient de l’évolution et de l’émergence d’un monde nouveau et d’un nouveau concept, où de nombreuses puissance nucléaire continentales et même mondiales émergent.
Ce superpuissance des États-Unis d’Amérique, qui a plus d’un demi siècle d’existence, n’est-il pas temps de se demander quel est le rôle de ce leader occidental, qui s’amuse à tuer ses alliés et à détruire des petits pays, tout en les empêchant de se développer et même d’émerger? Cette situation est-elle idéale pour Kamala :
Une vice-présidente, dont le profil reste incertain pour une partie des Américains, tentera mardi soir de persuader les indécis et les conservateurs modérés, tandis qu’une graHarris, qui a éviter toute erreur depuis le départ de Joe Biden il y a sept semaines, affirme représenter le changement sans tenir compte de la rupture ou de la différence avec le président américain.
Elle sera confrontée mardi soir à une contradiction probablement violente, peut-être maîtrisée. Face aux accusations du milliardaire, qui avait l’intention de la renvoyer au bilan de l’administration sortante, Kamala Harris devait démontrer sa maîtrise de soi, avant de se focaliser sur les dossiers.La plupart des électeurs des États-Unis ont déjà une préférence pour les deux candidats.
USA: La campagne présidentielle américaine de 2024 entre Harris et Trump suscite des inquiétudes chez les Américains, dans un contexte géopolitique très tendu où de nombreux intérêts sont en jeu.
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