Le jeudi 17 octobre, les chefs d’État européens ont sollicité la Commission pour élaborer une loi visant à faciliter le rapatriement des personnes ayant été rejetées leur demande d’asile. De nombreux dirigeants ont cependant exprimé leurs incertitudes quant à des expériences qui, jusqu’à présent, n’ont pas été démontrées.
Lors de la réunion des chefs d’État et de gouvernement européens, le jeudi 17 octobre à Bruxelles, ils ont discuté de ces « solutions novatrices » contre l’immigration, qui sont devenues une préoccupation majeure sur le Vieux Continent ces dernières semaines. L’Italie, qui a confié le traitement des demandes d’asile en Albanie, se présente comme le leader.
Selon Dick Schoof, il y a une « atmosphère différente » que par le passé concernant les questions migratoires en Europe. « Il n’y a jamais eu une telle unité sur ce sujet et cette unité s’est dirigée vers la droite de l’échiquier politique », remarque un haut fonctionnaire européen, alors que la droite et l’extrême droite s’développent partout en Europe.
