L’intervention quotidienne du président ukrainien représentait la première réaction aux États-Unis depuis les récentes critiques sévères de son homologue américain, qui l’a qualifié de « dictateur ».
Volodymyr Zelensky exprime le souhait d’avoir une rencontre « constructive » avec le représentant de Donald Trump, ce jeudi.
Volodymyr Zelensky a indiqué qu’il se réunirait avec l’envoyé spécial américain Keith Kellogg jeudi, aspirant à une collaboration « constructive » malgré les critiques acerbes de Donald Trump. Dans un contexte qui évolue, Volodymyr Zelensky se sent laissé pour compte et isolé par les États-Unis, manifestant son désir d’une rencontre « constructive » avec le représentant de Donald Trump.
L’intervention quotidienne du président ukrainien représentait la première réaction aux États-Unis depuis les récentes critiques sévères de son homologue américain, qui l’a qualifié de « dictateur ».
Volodymyr Zelensky exprime le souhait d’avoir une rencontre « constructive » avec le représentant de Donald Trump, ce jeudi.
Volodymyr Zelensky a annoncé qu’il prévoyait de rencontrer jeudi l’émissaire américain Keith Kellogg, aspirant à un travail « constructif » malgré les critiques acerbes formulées par Donald Trump à son encontre.
En précisant toutefois qu’il revenait même aux plus puissants de décider « d’être avec Poutine ou d’être avec la paix ». « Nous tenons à ce que cette réunion et notre collaboration avec l’Amérique dans son ensemble soient bénéfiques », a déclaré le leader ukrainien lors de son discours quotidien.
C’était sa première déclaration sur les États-Unis depuis les attaques très sévères de Donald Trump. Il a reproché à M. Zelensky d’être un « dictateur sans élection », adoptant le discours du Kremlin, en raison de l’absence d’élections présidentielles en Ukraine en 2024 à cause de la guerre.